Décidément, chez Coca-Cola Company on manque d’inspiration. Après #KissHappiness, avec la campagne de pub « j’ai embrassé » Elvis, Ray ou Marilyn… Coca a décidé de ressortir ses affiches publicitaires d’antan. Enfin, on aurait pu le croire, sauf qu’à l’époque les modèles — certes niais — posaient plus dignement.
Ne vous y méprenez pas ! Notre demoiselle à la chevelure blonde foisonnante et aux énormes lunettes rouges cœur s’apprête tout simplement à embrasser le fruit de pleine bouche — à moins qu’elle ne s’adonne aux joies de la flûte de pan, vu qu’elle n’ose pas boire en raison de la surabondance de son rouge à lèvres. Il faut vraiment avoir l’esprit mal tourné pour l’apercevoir penchée sur cette bouteille de Coca-Cola zero qu’elle agrippe tel un phallus prête à embrasser le goulot avec son bec pulpeux.
CACHEZ CETTE BOISSON QUE JE NE SAURAIS BOIRE
Ce subliminal faux selfie mal cadré plaît aux hommes, car c’est en réalité à eux que se destine le Coca zéro. En effet, ces messieurs n’assumeraient pas de boire du Coca-Cola Light, synonyme d’être à la diète et préféreront afficher qu’ils n’ont aucun complexe.
La publicité aura cependant le mérite de plaire aux amoureux de la langue française et autres linguistes qui débattront passionnément sur les essentiels des accords de la grammaire française.
En 2015, l’on ne souffle plus sur une fleur de pissenlit pour faire un vœu, on #ChoisisLeBonheur.
Daniel Latif
Laissons le temps faire les choses….
Aux royaume des dieux, maitre Coca est Barman, titre au combien honorifique et légendaire puisque, vous l’aurez compris, du haut de son bas bar, ce bon vieux Paul ou je ne sais qui , ne deal, lui, que de l’état des sprits, votre spirit certes simple et docile, n’a pas l’esprit funky, simple et fucky plus tôt ou tares à venir.
Quel bel objet, quelle belle fille, quelles belles couleurs, je suis encore impressionné quand j’y panse et ment sur mes plaies, et ca me plait de me faire posséder, par tous ces Etats d’Esprits , qui, au fin fond de mon spirit chimicotoxique me sussucrent des mots que je n’entends pas.
Suis-je fou et possédé par tous ses hommes cédés à mon libre arbitre diabolique qui nous rient au sein régulier de la pompe à coca cola, les deux célèbres medocs enfin mariés et dont les infanticides sont légion et re-legion.
Ces hommes qui pansent les hommes pour leur unique bien être, n’ont au final qu’une seul obsession, en éspérant que la pensée unique ne soit pas re-legion dans leurs spirits, je digresse alors qu’on biaise les obèses toutes les dix sept secondes dans le monde, leur obsession est que le consomateurs puissent s’installer autour d’un table pour annalyser, rassembler les faits, avoir l’esprit critique , proposer des solutions , faire poids de leur obésite pour qu’ils puissent enfin apprécier toutes les bonnes recettes de ce fardeau si lourd à porter une fois vidé dans l’estomac , penser à tout le bien que ces hommes font aux hommes….
Un client partenaire m’a dit un jour de sa vie à propos de ces réclames CC:
” Tu sé, g bien réflechi , mai quant ge voi cé pubs, é bin g envie de faire de l’amour a la fille et vider la bouteille dan mon cor, d’etre dan le mouve quoi! de me sentir comme la pomme d’internet. elle est tro bonne la moeuf g soif ca m’excite le neurone”
Depuis j’ai compris….