Si Galilée était encore en vie, il aurait été transporté par l’Astra GTC

Parmi l’amas d’étoiles observables sur Terre, il y en a une nommée Astra GTC — nom de code pour Grand tourisme compacte. Les scientifiques de Rüsselsheim la reconnaissent grâce à sa couleur “melon ensoleillé” ou plus vulgairement “jaune moutarde”. On remarque à l’avant une constellation de phares bi-xenon et de feux diurnes qui lui confère un regard céleste. Cet astre de la galaxie Opel peut filer, dans certaines contrées germaniques, à la vitesse de 219 km/h.

LA NOUVELLE “ASTRACTION” TERRESTRE

A l’oeil nu, on remarque des lignes fuyantes forgées par les éléments de la nature qui laissent apparaître l’aérodynamisme notoire de cette Astra. Ses formes bombées à l’arrière peuvent faire penser à une soucoupe volante prête à s’envoler pour un voyage “astra-terreste”. Son coffre petit d’apparence, se trouve être digne d’une malle de Mary Poppins.

A l’intérieur, lorsque le voyageur de l’espace appuie sur le bouton Sport, l’ambiance de l’habitacle se métamorphose. Ainsi, les cadrans du tableau de bord, les poignées de portes et même le dessous de la boîte de vitesses s’illuminent d’un rouge nébuleux.

Cet astre, émettant moins de 15 % d’émissions de CO2 par rapport à la pléiade d’étoiles gravitant sur Terre, est composé d’un noyau de quatre cylindres essence à injection directe 1.6 SIDI Turbo, et développe 170 chevaux.

Les heureux “Astranautes” se sont fiés à la bonne étoile en la choisissant car en effet, c’est une Opel et en terme de qualité : “Elle est extra cette Astra !”. Et c’est pourquoi ils lui accordent tous sans hésiter trois étoiles.

Daniel Latif