George Clooney déboula, comme à son habitude, à pas d’heure, en quête de sa dose caféinée. Notre Barbie qui, en pleine dégustation de la nouvelle boisson caliente de l’été : un expresso… mini, ne s’attendait pas à cette visite impromptue, se brûla et resta bouche bée.
« Vous êtes nouvelle ici ?
La bouche pleine, elle hocha la tête et marmonna :
— Qu’est-ce que je vous sers M. Clooney ? »
Perturbé par sa plastique, il ne parvenait plus à se remémorer le nom de son cru habituel. Quant à elle, la vue du Docteur Douglas Ross, sans sa blouse, lui fit le même effet.
« I TAKE YOU TO THE CANDY SHOP, I’LL LET YOU LICK THE LOLLIPOP »
Il remarqua une petite bosse au niveau de la joue droite. Ne tolérant aucune souffrance, il s’enquerra de l’origine de ce qu’elle affirmait être une déformation professionnelle.
« J’ai été médecin dans une vie antérieure, laissez-moi vous examiner.
Voulant à tout prix se faire ausculter, elle renchérit :
— Docteur, il faut faire vite, il y a Urgences ».
Le Dr. Doug Ross fit un diagnostic dans un dessein on ne peut plus scientifique. Puis, l’examen partit en sucette, prenant des allures de Première consultation : « viens voir le docteur non n’aie pas peur ». Il voulait ainsi évaluer son deepthroat sur un air de 50 Cent : « I take you to the Candy shop, I’ll let you lick the lollipop ».
Cependant, Maîtresse Candice lui tint un peu près ce langage : « Sorry Mister Clooney, it is too big ! ».
Nous voilà rassurés, ceci n’est pas une pipe.
Daniel Latif