Une pharmacie au cachet originel

Il est un lieu hors du temps où s’entremêlent boiseries typiques et architecture d’époque dans un cadre authentique doté d’une extrême convivialité. En plein cœur de Dijon, non loin du Palais des Ducs de Bourgogne, se cache une pharmacie qui ne ressemble à aucune autre.

Tenue par Christian et Claude Richard, l’authenticité de l’officine de La Croix Blanche est la résultante étonnante de l’œuvre d’un binôme gémellaire. D’un père pharmacien, ces derniers sont les garants d’une grande tradition où le médecin « Magister » prescrivait des préparations dites magistrales exécutées in extenso par le pharmacien.

L’ÉTONNANTE ŒUVRE D’UN BINÔME GÉMELLAIRE

Dans un décor digne des plus beaux comptoirs d’apothicaires érudits, parmi foison de flacons et bocaux de racines de Ginseng, trophées animaliers de voyage, ces derniers ressuscitent la genèse de la pharmacie où le pharmacien manipulait les matières premières pour élaborer les médicaments. Aujourd’hui, leur registre concerne leurs préparations magistrales et officinales. Cette pharmacie se distingue des autres en conservant les traditions qui sont immédiatement perceptibles par les senteurs de plantes, conférant une atmosphère apaisante et purifiée qui enivre aussitôt, créant une véritable synesthésie baudelairienne.

Si nos cinq sens sont en éveil dans ce lieu emblématique, le pari était réellement risqué mais non moins relevé car il fallait avoir de l’audace pour créer cette pharmacie unique, qui a aboli, ou du moins mis en retrait, les médicaments du quotidien au profit des préparations. La pharmacie « La Croix Blanche » à Dijon, propose également des préparations cosmétiques sans oublier les teintures officinales, les mélanges de plantes.

DES PRÉPARATIONS DANS LES RÈGLES DE L’ART

Tout est réalisé sur place pour répondre à la large demande d’une clientèle en quête de produits naturels et de qualité. Ainsi, l’expertise, la sincérité et le professionnalisme de ces pharmaciens sont marqués par leur souci de rigueur et de vérité dans un lieu d’antan digne des plus belles œuvres naturalistes de Zola.

Daniel Latif

Élection présidentielle française 2017

« Le temps est venu‎ » de « se libérer de l’occupation financière » et « faire entendre le camp des travailleurs » par « la force du peuple ».

Il s’agit de « nos vies, pas leurs profits !» car « la France doit être une chance pour tous. »‎ Plus qu’« une volonté pour la France », nous voulons « faire battre le cœur de la France » et « remettre la France en ordre ».

« Le temps est venu‎ » de « se libérer de l’occupation financière » et « faire entendre le camp des travailleurs » par « la force du peuple ».

Il s’agit de « nos vies, pas leurs profits !» car « la France doit être une chance pour tous. »‎ Plus qu’« une volonté pour la France », nous voulons « faire battre le cœur de la France » et « remettre la France en ordre ».

Alors faisons « un choix historique », « debout la France ! »

PUBLICITÉS — POLITIQUES — ET MESSAGES INDUITS NON CONTRACTUELS.

Daniel Latif

Quai des Rolex, Quai des iPhones : mi pub, mi… Mainmise !

Quai des Rolex
Qu’ils sont ravis nos touristes… Non pas parce qu’ils viennent d’apercevoir la Tour Eiffel — cette dernière est déjà éteinte ! Tout comme Notre Dame, le Panthéon ou l’hôtel de ville de Paris… Imaginez à quel point ces derniers sont comblés de pouvoir ramener dans leur contrée une aussi belle carte postale !

Ils auront beau avoir arpenté la capitale, de jour comme de nuit, à la recherche du Midnight in Paris de Woody Allen, ils devront se résigner à ce triste constat : le beau Paris by night est bel et bien utopie.

Un Paris qui se donne des apparences en trompe-l’œil mais qui réellement est un Paris constamment en travaux. Rues fermées ou impraticables, omniprésence d’échafaudages, des trottoirs dégoudronnés et sablonneux en friche. Le bruit des klaxons de voitures a remplacé l’air d’accordéon qui résonne à travers les rues parisiennes. À peine un chantier émerge-t-il qu’il est déjà bâché par de la publicité !

LA COUR D’APPLE DE PARIS, SITUÉE AU 34 QUAI DES IPHONES

Quai des orfevres iphoneEsthétiquement parlant, l’États-unien apprécie cette pollution visuelle qui lui rappelle vaguement les enseignes démesurées de Times Square à New-York. Aussitôt, il sort son iPhone pour prendre un cliché. Ne distinguant plus le nom de la voie, notre touriste s’empresse aussitôt de rebaptiser la rue sur Instagram : « 36, Quai des Rolex » ou « Quai des iPhones » en fonction de s’il se trouve côté Pont Saint-Michel ou Pont Neuf. Après tout, le téléphone à la Pomme et le garde-temps Suisse, accessoirement horloger de l’aéroport Charles de Gaulle, sont de remarquables gages pour une institution policière orfèvre en la matière.

Maires, députés ou ministres se garderont bien de s’en émouvoir car quand le bâtiment va, tout va ! Même le juriste véreux — amoureux du patrimoine français, certes… mais toutefois des plus procéduriers — se défendra de porter l’affaire en justice de peur d’être débouté devant la Cour d’Apple de Paris, située au 34, Quai des iPhones.

JCD&CO REVISITE L’ARCHITECTURE DE PARIS

Une belle victoire pour l’architecte JCDecaux qui réussit à briser l’harmonie des quartiers de Paris au gré des signatures de contrats publicitaires. Le résultat est époustouflant pour les touristes comme pour les habitants qui ne reconnaissent plus leur ville. Un tel génie qui incruste finement des imitations de fragments de notre patrimoine à travers ses publicités mériterait de rejoindre la célèbre maroufleuse de choc Valérie Damidot sur M6 dans un nouveau format que l’on intitulerait JC D&co.

Dans un souci de transparence et voulant à tout prix calmer les inquiétudes légitimes, les latifundistes ont gravé dans le stuc, leurs honnêtes intentions et motivations « en l’application de l’article L 621 29 8 du code du patrimoine, les recettes perçues par le propriétaire du monument pour cet affichage sont affectées au financement des travaux ». Un émouvant épitaphe attestant la véracité de leur soudain — mais non moins réel — intérêt envers le patrimoine français.

Pour parachever cet avènement et dans le plus grand des cynismes, notre maître d’œuvre dans l’art du mirage urbain Jean-Claude, JC pour les intimes, tel un artiste, y appose même sa signature lumineuse en bas à la façon d’un tableau.

Bientôt, sous prétexte de financement pour le climat, on observera de gros hologramme du logo COP21 projetés sur le ciel. Ouf ! L’on peut enfin respirer… La planète est sauvée.

Daniel Latif

Le jour où j’ai arrêté de regarder la télévision

Télévision MosaiqueLongtemps je me suis couché de mauvaise humeur…

J’avoue, à peine réveillé, j’étais déjà devant « Télématin ». « Coucou c’est nous ! », encore lui à la tête de l’émission ? Il est vrai que « Tout le monde veut prendre sa place ». Décidément toujours entouré de ses « Z’amours » et des mêmes invités présentés comme la « Nouvelle star ». J’ai donc petit déjeuné devant les éditions du matin « Non Stop »… Soudain, la présentatrice m’ordonne : « Restez avec nous, après la pub… », «Taratata ! ». S’en suit l’habituel « Zapping », le temps s’écoule à une vitesse et il est déjà « Midi en France ».

Mais comme cela ne m’a point suffit, je me retrouve à regarder « La Nouvelle édition ». Voyant que l’appétence du fait divers n’en finit point, je décide d’écouter quelques bonnes nouvelles dans « Le 13h » de Jean-Pierre Pernaut mais aussitôt on m’a demandé « Allô docteurs ? », « Comment ça va bien ? » puis fait « Toute une histoire »… Après tout, si je veux fuir la sinistrose omniprésente dans l’actualité « c’est mon choix ». J’ai voulu éteindre le poste de télévision mais c’était en pleine « Édition spéciale » avec une « Enquête exclusive » alors on m’a gentiment averti : « Touche pas à mon poste ! ».

« Le Grand journal » et le « Petit journal », victimes de « L’Effet Papillon », s’y sont donné à cœur joie et ont affiché des « Guignols » prétendument en train de faire l’Info. Après avoir été mis à rude épreuve, j’ai fui les « Esprits criminels » et je me suis échappé du « Fort Boyard » pour aller chez « Les filles d’à côté ».
Prenant mon courage à deux mains, je leur annonçai que « J’irai dormir chez vous », c’est « Ce soir (ou jamais !) », elles m’ont rétorqué que c’était « Zone interdite » alors «On ne va pas se mentir », j’ai traîné avec « Galzi jusqu’à minuit ».
« Bref », encore une fois, « on n’est pas couché ! »

Daniel Latif
Illustration : Cunione

Pourquoi les VTC offrent-ils des bonbons aux clients ?

Bonbons VTC UberDifficile de résister à la tentation du bonbon lorsque l’on pénètre à bord d’une berline VTC. Il y a les décomplexés qui baissent aussitôt l’accoudoir et font leur sélection, tout en prenant une poignée de réserve dans leur poche. Puis, les plus sérieux… en apparence ! Ceux qui céderont au péché gourmand lorsque le véhicule abordera un virage qui agitera les quelques sucreries omniprésentes… Le crépitement du papier plastique viendra ensuite par faire craquer le deuxième passager.

Sauf exception majeure ou un client précédent très gourmand, les véhicules de tourisme avec chauffeur regorgent de confiseries. Les fameux Arlequin de Lutti, qui rappellent ce parfum de cour de récré, les Krema Régal’ad qui grouillent dans l’accoudoir central — certains les gobaient même avec le papier, des Michoko de la Pie qui chante à foison dans les vides poches, mes préférés ! Ou le classique, qui ne se refuse pas, les Carambars, en vrac dans une boîte tendue nonchalamment par le chauffeur.

LE BONBON, UN ARGUMENT DE TAILLE POUR SÉDUIRE UNE JEUNE CLIENTÈLE

L’idée n’est pas très révolutionnaire et pourtant. Qui l’eut cru, qu’un assortiment de douceurs suffirait pour détourner une jeune clientèle dynamique des artisans taxi. Mais au fait pourquoi des bonbons ? La réponse est évidente : si vous aviez des clémentines, une banane ou une tablette de chocolat, cela risquerait d’être salissant, trop contraignant ou pas assez alléchant !

On notera toutefois le paradoxe du service haut de gamme d’un chauffeur professionnel à bord d’une berline de luxe qui vous offre des friandises au détriment de douceurs à la hauteur du prestige de la prestation. En effet, un assortiment de macarons Ladurée, des Guimauves fruit de la passion confectionnées par un grand Chef, des minis Giandujas aux noisettes de Piémont de la Maison Angelina ou encore des caramels Fauchon auraient été des plus bienvenus pendant le trajet.

Revenons au bonbon ! Derrière ce simple agrément de voyage, qui se révèle être le meilleur des appâts pour le client réticent des taxis, se cache probablement le lobby des dentistes qui se réjouira de l’arrivée — en VTC — de nouveaux clients venant soigner leurs caries dentaire. Mais cela ne vous concerne pas, car vous appliquez à la règle les conseils de maman et n’acceptez « aucun bonbon d’un inconnu ».

Daniel Latif

Cuisinella : mi pub, mi… Vicelardise !

CuisinellaAu menu du jour, le Chef vous propose : asperge assaisonnée aux petits oignons. Faîtes-la mariner, cuisinez-la ! Ce soir, c’est Monsieur qui cuisine. Cuisine Ella, pour être plus précis.

La faisant mitonner, le beautiful Frenchy a la banane car ce dernier nous a mijoté une dinde qu’il s’apprête à farcir avec débauche et décadence : Madame est servie ! Allongée telle une écrevisse, notre maître queux lui passe de l’huile… Non pas solaire mais d’olive. De quoi la laisser baba. N’y allant pas avec le dos de la cuillère, il a l’air d’avoir un bon coup de fourchette. En témoigne son sourire diabolique qui traduit bien son envie de la manger toute crue. À défaut de beurrer le moule et avant de tremper son biscuit, notre cuistot exécute avec délicatesse les prémices d’une orgie Rabelaisienne. Cette fois-ci, les carottes sont cuites, Ella va passer à la casserole.

Enfin « des cuisines qui donnent envie » ! En effet, à l’heure du tout industriel et du fast-food, voilà une cuisine où nos amoureux apprécieront les plaisirs de la chair au détriment d’y faire bonne chère.

Daniel Latif

Circulation alternée : une journée qui exaspère ?

pollution-paris-daniel-latifIl aura fallu sept jours pour que le gouvernement autorise enfin la mise en place du dispositif de circulation alternée : quelle réactivité hors pair !
En prévision de cette superbe journée, les automobilistes avaient beau essayer de réduire leur vitesse et rouler pépère, il n’y avait rien à faire… Les transports sont gratuits, les Autolib’ et Vélib’ aussi. Une activité sportive pendant un pic de pollution, ça peut paraître incongru mais cela va de pair.

ROULER AVEC UNE PLAQUE IMPAIRE SANS COMMETTRE D’IMPAIR ?

Lundi, seuls les véhicules aux plaques impaires, ou celles carburant à l’ampère pouvaient aller prendre l’air. D’aucuns sont même allés emprunter la voiture du beau-père ou de leur grand-père. Ah, la famille… ça c’est super ! Certes, on a tous des impératifs. Néanmoins, il y avait quelques exceptions qui dérogeaient à la règle comme les médecins et leur impérieux caducée.

Réticente sur sa mise en place, Ségolène Royal, Ministre de l’Écologie, s’est empressée d’annoncer la non reconduction de cette journée sans attendre qu’une baisse des particules ne s’opère. Cette absence de prise de décision courageuse ne fait que réduire notre temps d’attente pour rendre visite à Notre Père qui es aux cieux. Ce matin, mon confrère Philippe Martinet de Carissime et compère de roulage se demandait : “avec une paire de plaques impairs ! Puis-je rouler sans commettre d’impair ?”. Qu’il soit rassuré, la journée de circulation alternée c’est comme Lapeyre, y’en a pas deux !

Daniel Latif

Feu ma cheminée

chemineeIl n’y a pas de fumée sans feu. En 1995, le flamboyant duo JoeyStarr et Kool Shen, à la tête du Suprême NTM chantait : Mais qu’est-ce qu’on attend pour foutre le feu ?”.
Vingt ans plus tard, il semblerait que leur chanson soit toujours d’actualité. Ce 1er décembre 2014, un article du Parisien annonçait que nos cheminées ne feront pas long feu. Pas de quoi jeter de l’huile sur le feu pour certains. En effet, cela faisait bien longtemps que nos cheminées, à défaut de les avoir faites ramoner, n’avaient d’autre d’utilité qu’un ornement de salon où l’on y dépose foison d’objet plus ou moins décoratif.

Pourtant, la décision n’est pas nouvelle et date de mars 2013 où huit préfets d’Ile de France ont signé l’arrêt de toutes les cheminées à partir de la nouvelle année 2015. Pour ceux qui utilisent le foyer comme source de chauffage principal, cela risque de mettre le feu aux poudres. Afin de continuer à faire feu de tout bois, il faudra que les âtres soient équipés d’un insert. Une nouvelle dépense qui est loin de mettre d’aucuns tout feu tout flamme. D’autant plus que Noël approche, et que le budget des français réduit à petit feu, cela risquerait de pousser les plus modestes au burn-out.

Une idée qui est loin de s’apparenter au feu de dieu pour Santa Claus qui risque de jouer avec le feu et ne pourra plus assurer correctement sa livraison traditionnelle de cadeaux.

Cette mesure conforte néanmoins les Sapeurs-pompiers qui apprécieront un cessez-le-feu notoire. Qu’est-ce qui pouvait arriver Dupire à Jean-Pierre l’homme aux poêles séduisants, ancien PDG d’Invicta qui garde toujours le sourire sur ses publicités. Vite, il y a urgence : Allumez le feu !

Daniel Latif
Photo : Riccardo Cuppini

Ces boissons qui ont trinqué dans les cafés

Ricqles« Qu’est-ce que je vous sers ? » me lance la serveuse. Je réponds aussitôt : « La carte s’il vous plaît ». Indécis, moi ? Non, varions les plaisirs ! Me voilà plongé dans une interminable carte. Un jus ? Pas tomate, je viens d’en prendre un dans l’avion. Carotte ? Eu égard du prix, il porte bien son nom. Une orange ? Elle était trop concentrée. Pamplemousse, en bouteille également. La seule chose de pressée ici, c’est la serveuse.

Je referme la carte et entame un long cogito. « Vous avez choisi ? » Non mais vous allez peut-être me suggérer quelque chose d’original ? Un café ? Que s’il est turc. Ah, c’est un Nespresso… Ok, what else ? Avez-vous du Pepsi ? Coca ?! Un Coca vanille alors. Non plus ? Et du Ricqlès ? Vous n’en vendez plus depuis 50 ans ? Voyons, vous ne les faîtes pas ! Une Suze ? Elle me regarde interdite. Bah quoi ? Suzer n’est pas tromper ?

Je prendrai bien un cidre. Pas de bol et encore moins de bolée. Oserai-je faire l’affront de demander un Canada Dry ? Allez, va pour une mousse. Une Carlsberg mais en fût. Mettrai-je trop de pression ? Face à l’insuccès de mes desiderata, je m’enquis si l’établissement proposait du vin chaud. En vain, on me proposa un Grog. Je devais passer pour un grand malade.

Après moult concessions, je me résignais à prendre un chocolat chaud mais ce fut « trop tard, on ne sert plus de boissons chaudes à cette heure-ci ». Tiens donc.
Toujours dans ma posture Cogito ergo sum, j’aperçus dans le regard de la barmaid une circonspection digne de Mojito ergo soul. Finalement, j’optai pour un Schweppes. La serveuse, bouche bée. Eh oui… What did you expect ?

Daniel Latif

La Coupe du monde

equipe de france francois hollandeCet été, le foot, vous ne pourrez pas y couper.
Pendant que certains ont le souffle coupé devant la défaite de l’Espagne qui s’est faite couper l’herbe sous le pied par le Chili, pour d’autres, la coupe est pleine.

L’Italie qui s’est inclinée face à l’Uruguay, pourra se consoler à la maison devant une coupe de glace. Ceux qui voient la coupe à moitié vide, vous couperont la parole avec des discours coupés-collés à vous faire ouvrir les yeux comme des soucoupes.

“Tout ça pour une coupe ?” lanceront-ils, puis coup par coup, ils vous raconteront le nombre de coupures que touchent les joueurs qui n’ont jamais connu les coupes budgétaires.

Jusque là, pas de vrai scoop, ni de quoi vous couper le sifflet. Et puis certains médias qui vont même tergiverser sur la coupe des Bleus avec Franck Provost qui n’a pas coupé les cheveux en quatre sur ce phénomène de retour à la coupe au bol et a eu le courage et l’honnêteté de reconnaître que “c’est pas très beau”.coupe ballon

Le couperet est tombé pour Paul Pogba, Olivier Giroud et Mathieu Debuchy. A défaut de pouvoir s’acheter une nouvelle coupe de cheveux, ils sont certainement en bonne position pour soulever la coupe, qui, a fortiori contiendra du Champagne ! C’est tout ce qu’on leur souhaite.

Daniel Latif