Bien-être à Chartres à l’hôtel le Grand Monarque

En plein cœur de Chartres, en Eure-et-Loir, se trouve un lieu hors du temps où convivialité et détente sont de mise. Découvrez et plongez en toute sérénité pour un moment de bien-être à l’hôtel le Grand Monarque.

Situé à deux pas de la cathédrale de Chartres, classée au patrimoine mondial de l’UNESCO, mais également du Centre International du Vitrail et du Musée des Beaux-Arts, l’hôtel le Grand Monarque est un lieu idéal pour un week-end cocooning.

En effet, cet hôtel de charme mêle traditions et modernité, tout en conservant ses atouts de charmes tels qu’un SPA, bar et restaurants dont un gastronomique avec à son palmarès une étoile Michelin.

Un restaurant gastronomique d’exception

Si cet établissement existe depuis le XVIIème siècle, c’est sans doute par sa situation géographique exceptionnelle. Situé à mi-chemin entre Paris et la Loire ainsi qu’entre Orléans, l’Anjou, le Maine et la Touraine, cet hôtel préserve et dévoile depuis de nombreuses années un art de vivre à la française, tout en associant une pointe de modernité. Ce délicieux mélange, c’est à travers le restaurant gastronomique de l’établissement, le Georges que l’on peut l’admirer.

En effet, avec à son arc une étoile au Guide Michelin depuis 2009, ce restaurant qui a été baptisé en l’honneur de Georges Jallerat, le fondateur du Grand Monarque, réunit de savoureux ingrédients pour une recette unique et fusionne ainsi traditions et modernité.

C’est donc dans une salle principale lumineuse à l’atmosphère cosy, que le restaurant accueille les clients dans une décoration d’époque, faisant ainsi écho au passé du Grand Monarque. A la carte, les grands classiques de la gastronomie de Chartres sont proposés avec une touche et une pincée de contemporanéité, d’originalité, de fraîcheur et de fantaisie, révélant ainsi une cuisine inventive, subtile et raffinée.

Par ailleurs, à quelques pas de l’hôtel, des cours de cuisine sont organisés par l’ancien Chef étoilé du Grand Monarque, Laurent Clément. Ce dernier qui donnait au départ des cours dans les cuisines du Georges, propose aujourd’hui de partager son savoir-faire au “11 Cours Gabriel” en compagnie de Michaël Lebert, le second en pâtisserie, pour les amateurs comme pour les inconditionnels et fous de cuisine à travers différents thèmes, et il y en a pour tous les goûts et pour tous les âges.

Une brasserie traditionnelle et un lounge aux allures de décor de cinéma

Pour les plus conventionnels, la brasserie du Grand Monarque s’avère être conviviale et chaleureuse avec une cuisine traditionnelle. Située dans la cour intérieure de l’hôtel, avec comme agrément une grande verrière qui apporte luminosité et splendeur, cette brasserie offre des plats gourmands et frais de saisons.

Dans une ambiance plus calfeutrée, le Bar lounge, manifeste des allures de bar anglais grâce à ses fauteuils en cuir, ses boiseries ainsi que sa large gamme de whiskies. C’est donc dans un décor de film ou plutôt de cinéma, qu’il est possible de siroter les nombreux cocktails avec ou sans alcool proposés à la carte, des smoothies, spiritueux, liqueurs, jus de fruits ou bien boissons chaudes, ainsi que de déguster sur le pouce quelques plats ou assiettes suggérés dans une petite carte de restauration. Le temps s’est alors arrêté et l’on se croirait presque chez Hercule Poirot ou dans une salle du Cluedo.

Un SPA pour un moment unique de bien-être

Néanmoins, le principal atout de cet hôtel c’est évidemment l’opportunité de profiter d’un SPA dans un espace de 850m2. Et pour cause, ce SPA BeBy Monarque, offre un moment de détente, de relaxation et de cocooning grâce à une atmosphère zen et épurée. En plus des soins proposés par les esthéticiennes et coiffeuses, une salle de fitness est également mise à disposition 24H/24, dans ce palais de la beauté, de la forme et de la détente.

L’hôtel le Grand Monarque se révèle alors comme un établissement d’exception où gastronomie et détente sont les ingrédients miracles d’une recette unique et singulière pour un savoureux moment.

Le Grand Monarque
22 Place des Epars
28000 Chartres
Tel. 02 37 18 15 15

Daniel Latif

Bravo les Jeux Olymfrics !

Bravo quoi ?

2024, les Jeux ne sont pas encore faits et on crie déjà victoire ?

Mais de quelle victoire parle-t-on ?

ET 2017, ON EN PARLE, SINON ?

Les coupes budgétaires, baisses des dotations de l’État ?

Les postes supprimés, la précarité salariale, la fermeture des bureaux de postes ?

Le recrutement des enseignants, de médecins, d’infirmiers et personnels hospitalier ? Et les casernes de pompiers et acteurs de l’urgence et du secourisme qui n’ont pas les moyens de renouveler leur matériel ?

La performance, la fiabilité et sécurité des transports en commun ?

Le nombre d’heures cumulées dans les bouchons ?

Quand il n’y a plus d’argent pour certains, il en reste toujours pour les encarts publicitaires. Allez, souriez et dites « bravo », « à nous les Jeux » Olymfrics !

Daniel Latif

Fromage ou dessert : la convivialité Rustique

« Fromage ou dessert », cette question presque rhétorique aurait pu être l’intitulé de la composition pour l’épreuve de philosophie au concours de l’école normale supérieure.

« Sérieusement ?! »
, ces Messieurs feraient-ils la fine bouche devant ce camembert photoshopé servi dans sa façon la plus rustique avec trois malheureuses myrtilles ? Même si la question fâche, on ne va pas en faire tout un fromage.

L’énième incident diplomatique est clos. Fausse alerte ! Que les Canadiens se rassurent, que les États-uniens reposent leur cagoule d’évacuation. En dépit de l’odeur quelque peu rustique qui s’exhale de cet objet rond, et même si ça poque, les ingénieurs en agronomie sont formels… nous sommes bien en présence d’un claquos — au lait pasteurisé.

Voilà nos convives rassurés, alors pour la prochaine fois, dans le doute, souriez et dites : « Cheese ! ».

Daniel Latif

Une pharmacie au cachet originel

Il est un lieu hors du temps où s’entremêlent boiseries typiques et architecture d’époque dans un cadre authentique doté d’une extrême convivialité. En plein cœur de Dijon, non loin du Palais des Ducs de Bourgogne, se cache une pharmacie qui ne ressemble à aucune autre.

Tenue par Christian et Claude Richard, l’authenticité de l’officine de La Croix Blanche est la résultante étonnante de l’œuvre d’un binôme gémellaire. D’un père pharmacien, ces derniers sont les garants d’une grande tradition où le médecin « Magister » prescrivait des préparations dites magistrales exécutées in extenso par le pharmacien.

L’ÉTONNANTE ŒUVRE D’UN BINÔME GÉMELLAIRE

Dans un décor digne des plus beaux comptoirs d’apothicaires érudits, parmi foison de flacons et bocaux de racines de Ginseng, trophées animaliers de voyage, ces derniers ressuscitent la genèse de la pharmacie où le pharmacien manipulait les matières premières pour élaborer les médicaments. Aujourd’hui, leur registre concerne leurs préparations magistrales et officinales. Cette pharmacie se distingue des autres en conservant les traditions qui sont immédiatement perceptibles par les senteurs de plantes, conférant une atmosphère apaisante et purifiée qui enivre aussitôt, créant une véritable synesthésie baudelairienne.

Si nos cinq sens sont en éveil dans ce lieu emblématique, le pari était réellement risqué mais non moins relevé car il fallait avoir de l’audace pour créer cette pharmacie unique, qui a aboli, ou du moins mis en retrait, les médicaments du quotidien au profit des préparations. La pharmacie « La Croix Blanche » à Dijon, propose également des préparations cosmétiques sans oublier les teintures officinales, les mélanges de plantes.

DES PRÉPARATIONS DANS LES RÈGLES DE L’ART

Tout est réalisé sur place pour répondre à la large demande d’une clientèle en quête de produits naturels et de qualité. Ainsi, l’expertise, la sincérité et le professionnalisme de ces pharmaciens sont marqués par leur souci de rigueur et de vérité dans un lieu d’antan digne des plus belles œuvres naturalistes de Zola.

Daniel Latif

Élection présidentielle française 2017

« Le temps est venu‎ » de « se libérer de l’occupation financière » et « faire entendre le camp des travailleurs » par « la force du peuple ».

Il s’agit de « nos vies, pas leurs profits !» car « la France doit être une chance pour tous. »‎ Plus qu’« une volonté pour la France », nous voulons « faire battre le cœur de la France » et « remettre la France en ordre ».

« Le temps est venu‎ » de « se libérer de l’occupation financière » et « faire entendre le camp des travailleurs » par « la force du peuple ».

Il s’agit de « nos vies, pas leurs profits !» car « la France doit être une chance pour tous. »‎ Plus qu’« une volonté pour la France », nous voulons « faire battre le cœur de la France » et « remettre la France en ordre ».

Alors faisons « un choix historique », « debout la France ! »

PUBLICITÉS — POLITIQUES — ET MESSAGES INDUITS NON CONTRACTUELS.

Daniel Latif

Yves Saint Laurent se lance dans la Haute Bouture

Nos amis les Directeurs artistiques du célèbre atelier de confection ne savent donc plus quoi inventer pour se donner en spectacle. Au-delà d’une simple panne d’inspiration, il semblerait que ces derniers aient atteint les limites du fashion..

Nos amis les Directeurs artistiques du célèbre atelier de confection ne savent donc plus quoi inventer pour se donner en spectacle. Au-delà d’une simple panne d’inspiration, il semblerait que ces derniers aient atteint les limites du fashion.

Que les féministes se rassurent, la tendance mannequin squelettique n’est pas revenue au goût du jour. Cette demoiselle au photoshopage des plus douteux n’est que le reflet de l’ambiance dévastatrice qui règne chez feu la maison de couture.

DIFFICILE DE FAIRE DU SAINT LAURENT SANS YVES

Certes, il fut un temps, YSL faisait dans le sublime. Mais ça, c’était d’antan ! Désormais, on observe la magnifique décadence orchestrée par ses dirigeants spécialisés en haute coupures. Tout comme chez Apple, sans Steve Jobs… difficile de faire du Saint Laurent sans Yves.

Loin de la rollergirl caissière chez Carrefour, à peine plus épaisse qu’une biscotte qui s’effondre après un slalom à travers le rayon textile. Aujourd’hui, la mode est aux rondeurs, aux courbes et aux gros bonnets : de Nabilla Benattia à Kim Kardashian en passant par Nicki Minaj… Voilà ce que pensent les hommes, ils veulent du booty !

La mode se démode et le style part en freestyle.

Daniel Latif

Gardez la Monnaie, Marianne !

Désolé, la maison n’accepte plus les pièces de 1 000 euros. Par chèque ? La maison ne les a jamais acceptés, à vrai dire. Le terminal de paiement électronique est malencontreusement tombé en panne, vraiment désolé, merci de faire l’appoint…

Désolé, la maison n’accepte plus les pièces de 1 000 euros. Par chèque ? La maison ne les a jamais acceptés, à vrai dire. Le terminal de paiement électronique est malencontreusement tombé en panne, vraiment désolé, merci de faire l’appoint !

« N’auriez pas une petite pièce ? » quémanda Marianne… « Même une pièce jaune — de 250 euros ? » insiste-t-elle encore. Notre petite sirène aurait-elle donc fait volte-face ? En effet, c’est certes moins cher depuis que c’est en euros, toutefois, elle regrette cette période prodigue où « c’était mieux avant » avec les francs. Poursuivant sa chimère, Marianne regarde désormais derrière elle, contemplant cette Angleterre qui s’éloigne petit à petit.

GARDEZ LA MONNAIE CHÈRE MARIANNE

« Au nom des thunes, au nom du [ fisc ], au nom du Nasdaq, au nom des bénéfices ! »
Notre Milady s’est rhabillée ‎au profit d’un « précieux symbole de liberté ». Une allégorie de la Liberté taxant le peuple ou tout simplement… la liberté de payer ! Priceless. N’en déplaise à Florent Pagny, il y a certaines choses qui ne s’achètent pas. Une liberté démesurée au détriment de l’égalité et la fraternité qui n’ont plus de place en son coffre mais resteront à jamais frappées dans les écritures saintes… Pour tout le reste, il y a Mastercard.

Daniel Latif

Publicité clandestine : la bonne affaire d’Edouard Baer

On en a connu des grands moments radiophoniques, mais si l’on devait s’attarder sur un chef d’œuvre des plus actuels ce serait le magnifique braquage organisé par deux matinaliers…

Edouard Baer Camille Combal Nova Virgin RadioOn en a connu des grands moments radiophoniques, mais si l’on devait s’attarder sur un chef d’œuvre des plus actuels ce serait le magnifique braquage organisé par deux matinaliers.

En chef d’orchestre : Édouard Baer, troubadour qui berce son auditoire de « petite radio » — 26 fréquences à travers la France — dans une utopie et prétend s’insurger contre la publicité diffusée sur son antenne : « on a depuis des semaines, trois pubs de bagnoles tous les quarts d’heure et il y a un pick-up Nissan, je n’en peux plus. Je ne compte pas l’acheter. Je vais vous dire franchement personne n’a envie de l’acheter !».

PUBLICITÉ CLANDESTINE SUR VIRGIN AU PRIX NOVA

Ce dernier, dans une performance théâtrale de radio pirate vient prendre l’antenne de la matinale animée par Camille Combal sur une ancienne « grosse radio » — feu Europe 2 : « je me disais que vous avez peut être plus d’auditeurs ? ». Certes, Virgin Radio exploite 239 fréquences, mais peine tout autant en termes d’audience. Pour preuve, notre saltimbanque, à la tête d’un beau manège en est réduit à faire gagner des lots de fanfare allant même jusqu’à leur promettre de payer 10 ans de loyer…

Camille joue l’interloqué et lance tel un concessionnaire : « Nissan font des voitures de qualité ». Voyant que son interlocuteur est des plus réceptifs à la réclame, il le récompense : « Tiens envoyez-lui la Peugeot, la Renault… il a l’air de bonne composition le Camille Combal ».

MAIS QUE FAIT LE CSA ?

Et voici comment incognito notre cher Édouard Baer a rediffusé, hors des écrans prévus à cet effet, un message publicitaire sur deux antennes différentes. Plus qu’une performance, aux yeux des annonceurs, il s’agit du plus beau casse du siècle. On ne pouvait rêver mieux comme chef d’orchestre publicitaire.

Continuant ainsi sa glose dans une performance théâtrale dantesque : « c’est pas contre vous, c’est simplement pour partager. « Sharer », je dirai, du verbe I share, you share, let’s share la publicité ». Sharez-donc Édouard Baer, car bientôt ce sont les audiences et a fortiori les radios qui cherront.

Daniel Latif

Kaspersky : mi pub, mi… Hantise !

Cette année, Notre-Dame d’Instagram s’est trouvée une nouvelle vocation : devenir lanceuse d’alerte. Aussitôt manipulée, après la vision de Citizen Four, elle n’a de cesse de répéter à qui veut l’entendre son nouvel objectif en 2017 : « je veux être impiratable ».

kaspersky impiratableCette année, Notre-Dame d’Instagram s’est trouvée une nouvelle vocation : devenir lanceuse d’alerte. Aussitôt manipulée, après la vision de Citizen Four, elle n’a de cesse de répéter à qui veut l’entendre son nouvel objectif en 2017 : « je veux être impiratable ».

LES VOIES DU SERVEUR SONT IMPÉNÉTRABLES

Au-delà de cet imbitable néologisme, se cache une nouvelle forme d’hypocondrie qui circule dans un espace plus ou moins proche : le cloud. Car dans les nuages, les voies du serveur sont impénétrables.‎ Notre-Dame moderne n’est plus une femme comme avant et se moque d’être impeccable. Cette dernière en a marre de se prendre des ‎disquettes ! Désormais, son seul souci c’est d’être « inhackable ».

Dorénavant, ‎ces Messieurs les pirates, vikings, capitaines crochets, Anonymous, LulzSec et autres fantômes qui hantent le cyberspace se heurteront à un mur aussi aimable qu’une porte de datacenter.

Mais qui est donc ce Kasper ? Un gentil petit fantôme qui « protège tous [ses] appareils contre les virus »‎‎. Plus qu’un pare-feu, davantage favorisé par rapport à la liste exhaustive de ses amants, il a le bénéfice de partager toute son intimité y compris jusqu’aux moindres détails de sa minette.

MAIS QUE FAIT LA NSA ?

Car quand l’indélicate tchatte et expose sa « vie privée en ligne », Kasper lance le plan Vigipirate et verrouille tout : USB, petit ou gros jacques ainsi que foison de gros ports… Plus rien ne pénétrera dans son ‎‎‎sein.

Les révélations sont des plus édifiantes et personne ne l’avait vu venir, y compris les Femen — loin de se douter un seul instant que : le pirate est une femme. « Ils ont volé notre recette » se lamentent à leur tour les politiques, qui de concert avec les grand-mères Tipiak scandent en chœur : « pirates ! ».

Daniel Latif

Dolce & Gabbana : mi pub, mi… Banquise !

A peine avaient-ils entamé un tout schuss sur piste bleue que nos deux étoiles, loin d’être des flèches, voulaient déplacer des montagnes et atteindre le Mont Janus.
Pris sur le fait, la main presque dans le sac, nos esthètes furent interrompus dans la zone du Mont Rose : « Halte-là M’sieur, dame, bonjour… c’est la douane ! ».

Dolce GabbanaA peine avaient-ils entamé un tout schuss sur piste bleue que nos deux étoiles, loin d’être des flèches, voulaient déplacer des montagnes et atteindre le Mont Janus.
Pris sur le fait, la main presque dans le sac, nos esthètes furent interrompus dans la zone du Mont Rose : « Halte-là M’sieur, dame, bonjour… c’est la douane ! ».

Après un contrôle, simple formalité, les agents du ministère de l’Économie et des finances en arrivent au constat qu’il doit s’agir d’une erreur de casting. En effet, loin de tout dessein d’optimisation fiscale, aucun faux en possession — puisque sans contrefaçon, je suis un maçon. Et encore moins de raclette pour nos vacanciers — eu égard leur corpulence à faire complexer et détourner le regard de la vue des plus beaux paysages de montagne — qui suivent le régime escalope avec une belle salade.

Le plus stupéfiant en l’occurrence : les Bronzés ne font pas de ski ! Au menu, tout juste quelque tire-fesses à l’italienne et hors-piste à volonté. Ceci justifierait probablement pourquoi notre skieur en chaleur y a perdu son bâton en pleine exploration de pistes non-damées.
Puis nos inspecteurs découvrent sur eux deux flacons qu’ils firent tester au Clearblue. Le résultat s’avère être « light blue ». Il n’y a plus de doutes, il s’agit d’un ménage à trois !

Daniel Latif